Une rumeur cache une vérité

Une rumeur cache une vérité

C’est bien connu, les rages de dents se déclenchent le week-end. En l’occurence, vendredi, ce fut la prétendue présence d’un cas COVID chez les agents du périscolaire qui était annoncé par l’association des parents d’élèves.

Cette annonce était heureusement fausse, mais demandait une réponse claire et précise car une rumeur repose toujours sur des faits mal interprétés.

Une semaine auparavant, il est vrai, un cas COVID et cinq cas contacts avaient été décelés dans l’équipe de la restauration collective. Toutes les mesures règlementaires et sanitaires déjà prises en coopération avec l’Agence Régionale de Santé et plus particulièrement le docteur Gaillard ont permis d’isoler les personnes concernées.

Le cas COVID a bénéficié d’un accompagnement médical immédiat, d’un arrêt maladie, et son état est satisfaisant ; les cinq cas contacts ont fait l’objet d’un arrêt de sept jours au terme duquel les tests se sont avérés négatifs et ils ont pu reprendre leur travail.

L’équipe de la restauration collective a su, sous la direction de Yannick Merlhiot, mettre en œuvre tout ses moyens et son énergie pour assurer tant le service aux enfants que le portage à domicile. De telle sorte que personne ne puisse s’inquiéter, ce qui fut le cas.

Mais, dans l’urgence, avouons-le, nous n’avons pas tenu informé l’association des parents d’élèves de cette situation. Ce qui explique l’apparition de la rumeur qui résulte seulement d’un manque d’information auquel nous n’avons pas répondu. Nous nous en excusons.

Pascal Serre